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Olivier Gronier, Délégué régional Normandie

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habitants mobilisés et regroupés au sein d’une association

En 2016, grâce au soutien financier de l’État, du Conseil départemental mais aussi et surtout à la contribution de généreux donateurs mobilisés par la dynamique association Art et Patrimoine de Saint-Hymer, une première tranche de travaux pour la mise hors d’eau de l’église (toit du chœur, de la chapelle sud et de la sacristie) de 290 000 euros a pu être réalisée. 
Travaux complétés en 2017 sur le transept et la dernière travée de la nef pour un montant de 283 998 euros hors taxes. 
Il convient aujourd’hui de restaurer la nef dans son intégralité : couverture, charpentes et façades.  Le chantier s’élève à 343 255 euros hors taxes et finalisera cette importante campagne de restauration qui permettra à ce superbe édifice de retrouver tout son lustre et de le préserver pour les générations futures.


Restauration de la nef, dernière tranche d’un chantier exemplaire

A proximité de Pont-l’Evêque, la commune de Saint-Hymer doit avant tout sa renommée à son prieuré. Une abbaye bénédictine y fut fondée au XIe siècle, et fut active jusqu’à la fin du XVIIe siècle. Au début du XVIIIe siècle, le prieuré et l’abbaye furent reconstruits et reconnus comme le « petit Port Royal normand » en mémoire de Port Royal des Champs. A la fin du XIXe siècle, les lieux furent vendus puis légués à l’hôpital de Pont l’Evêque pour en faire une maison de retraite.

L’église prieurale, classée au titre des monuments historiques, fut longtemps délaissée, bien qu’elle possède encore  sa magnifique charpente en chêne qui remonte à plus de 750 ans ! 

Sur un plan plus anecdotique, Saint-Hymer est également la commune de la « Mère Denis », célèbre lavandière française passée à la postérité grâce aux campagnes publicitaires de la marque de machines à laver Vedette dans les années 1970-1980. 


Une histoire et un lieu emblématique à plus d’un titre

Depuis 2009, par un travail acharné de la commune et de l’association et avec le soutien des Saint-Hymériens, ce sont plus de 170 000 euros de dons qui ont été collectés. 

Les trois tranches de travaux avoisinant le million d’euros sont également soutenues par la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), le Conseil départemental, le mécénat avec CGPA, et la Fondation du patrimoine. Leurs aides cumulées ont jusqu’à présent permis de financer les tranches de 2016 et de 2018. 

La dernière tranche de travaux de sauvegarde est très importante en regard des ressources de la commune. Vos derniers dons permettront de parachever ce chantier d’une exceptionnelle qualité.


Une commune et une association déterminées

Eglise de Saint-Hymer

Signature de la convention pour la troisième tranche de travaux

Eglise de Saint Hymer - Calvados

De travaux pour sauver et restaurer le clocher

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Votre soutien est indispensable pour sauvegarder le clocher de l’église du premier gothique de Villiers-le-Sec, un édifice exceptionnel du patrimoine rural construit dans la seconde moitié du XIIe siècle, situé à proximité de Bayeux, dans la commune nouvelle de Creully-sur-Seulles. 

La réhabilitation prévue en deux phases, concernera le clocher de l’édifice qu’il faut d’abord stabiliser et consolider, puis il conviendra de restaurer les façades et l’intérieur.
Pour ce faire, 1 065 130 € sont nécessaires à la réalisation des travaux indispensables, réalisés par des artisans locaux, pour sauvegarder l’ouvrage.

Ce projet est initié par l’Association « Villiers mon patrimoine » et la commune de Creully-sur-Seulles et soutenu par la Fondation du patrimoine. 

Le projet : sauvegarder le clocher du XIIe siècle

Les Bénédictins de l’Abbaye de Fécamp s’implantent dans la région et font construire l’église dans la seconde moitié du XIIe siècle. L’édifice appartient au premier gothique avec une nef et deux travées de chœur, la première est surmontée d’une tour lanterne, fait exceptionnel pour une église de campagne. 
Au milieu du XVIIIe siècle la nef s’effondre, la faiblesse des fondations en a été surement la cause. Cet effondrement est à lier aux problèmes structurels rencontrés aujourd’hui sur la tour lanterne et le chœur. 
Proche des plages du débarquement et donc facilement accessible pour les touristes qui réclament sa visite, l’édifice dont le clocher et le chœur sont classés aux Monuments historiques depuis le 22 octobre 1913 est actuellement fermé pour des raisons de sécurité. 

Le lieu et son histoire : une tour lanterne à l’influence des Abbés de Fécamp 

Grâce à vos dons, la restauration du clocher permettra à nouveau l’ouverture au public et d’y redonner notamment des offices et célébrations religieuses. 
Dans le projet culturel de l’intercom STM (Seulles Terre et Mer), il est également prévu que l’église accueille des concerts et des expositions et participe aux évènements culturels européens (ex : Journées du patrimoine), régionaux (Pierres en lumières), etc. 
Il manque à la commune 166 000 € pour solder le financement total du projet de restauration du clocher. L’association anime la collecte et a besoin de votre soutien. 


La mobilisation : un territoire rural soudé autour du projet

Eglise Saint Laurent de Villiers-le-Sec

Eglise Saint Laurent de Villiers-le-Sec - Calvados

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de travaux de restauration des décors peints

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Située dans la commune de Mézidon-Vallée-d’Auge, cette chapelle conserve **près de 100 m² de peintures du XIIIe siècle relatant des scènes religieuses ou civiles miraculeusement conservées dans leur état originel.** Trop modestes et cachées, ces  peintures n’ont souffert ni de la Contre-Réforme, ni de restaurations malhabiles au XIXe siècle. Mais elles nécessitent **un nettoyage, une fixation des pigments, et des retouches** a minima. Pour ce faire, **340 000 euros sont nécessaires pour finaliser le plan global de conservation de la chapelle** initié depuis 2014 par l’association en charge du projet, avec le soutien de la DRAC, du département, de mécènes et de la Fondation du patrimoine.

Le projet : sauver une imagerie populaire rurale du XIIIe siècle en Normandie

Préservée dans son écrin de verdure originel, **dans la vallée de la Viette,** la chapelle Sainte-Marie aux Anglais est un pur exemple du roman rural normand. **Classée Monument Historique dès 1850,** classement renouvelé en 1910, elle nous apparait **telle que son maître d’œuvre l’avait imaginée.** Vers 1220, ses murs intérieurs furent recouverts de peintures dont une grande partie nous est parvenue. Leur étude fait ressortir leur destination pédagogique et le lien de leurs auteurs avec la pensée de leur époque. 

**Vos dons seront essentiels** pour permettre la sauvegarde de ce témoignage unique de la ruralité au Moyen Age. 

Le lieu et son histoire : une représentation de la pensée romane à travers l’architecture et les peintures

Régulièrement entretenue de sa création aux années 1850, la chapelle - bien que classée Monument Historique - fut ensuite laissée à l’abandon jusqu’à ce que **la Société archéologique de Normandie **intervienne pour que des travaux indispensables soient réalisés** à partir de 1890.** Un siècle plus tard, un nouveau souffle a été donné par la commune en liaison avec un donateur particulièrement généreux. **En 2013, une association dédiée à la conservation de la chapelle fut créée** et permit de restaurer le clos et le couvert en 2017 et 2018. 

Soutenir par vos dons ce projet permettra de **finaliser fin 2021 début 2022 la deuxième phase de restauration,** celle des peintures intérieures, essentielle à la cohérence de l’ensemble.  

Une mobilisation dynamique autour du projet menée par une association investie 

Chapelle Sainte-Marie aux Anglais

Signature de la convention pour les peintures

Chapelle Sainte-Marie aux Anglais à Mézidon-Vallée d'Auge - Calvados

tableaux de maîtres flamands transportés dans les réserves de Bayeux

de travaux prévus pour les deux tranches

habitants mobilisés et regroupés en association

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La dégradation de la toiture de l’église et de la sacristie a entrainé la fermeture de l’édifice au public et le transfert des tableaux dans des réserves à Bayeux. En effet la voûte intérieure menaçait de tomber, des infiltrations d’eau par la couverture défectueuse rendaient l’église très humide et des chutes de pierre à l’extérieur rendaient l’approche des lieux dangereuse.
Une première tranche de travaux a concerné la réfection du clocher, de la nef et de sa voûte. Ces travaux sont en voie d’achèvement, et il convient désormais de refaire la toiture du chœur et de la sacristie pour pouvoir rendre les lieux au public. L’église retrouvera alors sa triple vocation de lieu de culte, de musée, et d’espace culturel dédié à des conférences, des concerts, ou des expositions.


Restaurer l’édifice et lui redonner sa triple vocation : cultuelle, muséale et culturelle.

Inscrite aux Monuments historiques, située dans un environnement privilégié, l’église de Saint-Pierre-Azif conserve de son origine moyenâgeuse une tour lombarde devenue le clocher. Le chœur date également du XIIe siècle, la nef étant plus tardive (XVe). Mais l’atout majeur de cette église-musée est d’abriter neuf tableaux de maîtres flamands dont un triptyque de Lucas de Leyde du XVIe siècle représentant la Nativité, l’Adoration des Mages, et la Circoncision. Un tel ensemble se devant d’être conservé dans des conditions optimales, le couvert de l’église et celui de la sacristie devaient impérativement être restaurés, leur état très dégradé entrainant un taux d’humidité incompatible à un maintien des tableaux dans les lieux. 

Une église-musée

A la fois lieu de culte, lieu de vie rassembleur et musée, le projet de restauration de l’église a fédéré ses habitants qui souhaitent retrouver la triple vocation de leur église, aujourd’hui fermée au public. La commune ne pouvant subvenir seule au montant des travaux estimés à 440 000 €, la DRAC et le Conseil départemental sont intervenus. Parallèlement une association s’est créée pour recueillir des dons avec le soutien de la Fondation du patrimoine. La première tranche de travaux sur le clocher et la nef étant en voie d’achèvement, il s’agit désormais de refaire la toiture du chœur et de la sacristie, avec une date d’achèvement de travaux prévue fin 2020.

Soutenir par vos dons cette association, c’est redonner vie à un lieu unique dans le Pays d’Auge.


Une forte implication communale autour de cette restauration

Restauration de l'église de Saint Pierre Azif

Transfert des tableaux dans les réserves d’objets d’art sacré de Bayeux

Fin de la première tranche de travaux (clocher, nef et voûte) – démarrage seconde tranche

EGLISE DE SAINT PIERRE AZIF

millions d'€ de travaux pour créer le musée

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La Villa Bon Abri, ancien espace culturel, a été choisie comme **lieu d’accueil du futur musée Marcel Proust « La Villa du Temps Retrouvé »** en raison de son **architecture typique des années 1860** et de sa proximité du Grand Hôtel de Cabourg.
Les travaux à entreprendre concernent **le ravalement des façades, la restructuration complète des espaces intérieurs, la mise aux normes muséales des lieux et l’aménagement des jardins.** A l’issue de ces travaux, la Villa proposera au visiteur d’effectuer **un véritable voyage dans le temps** en le transportant dans les années 1900. A l’exposition permanente s’ajouteront **des expositions temporaires**, en collaboration avec d’autres grands musées partenaires, qui retraceront les sujets culturels de cette époque. Enfin **un jardin aux couleurs de la Belle Epoque,** une librairie-boutique et un café complèteront l’ensemble.

Réhabiliter une villa Belle Epoque en un musée dédié à Marcel Proust

Temps suspendu entre deux siècles, la Belle Epoque a radicalement transformé la Côte Fleurie avec **la mode naissante des bains de mer et le développement du tourisme moderne.** 
Cabourg s’est ainsi métamorphosée de simple village de pêcheurs en **une station mondaine très prisée par Marcel Proust qui y séjourna plusieurs étés.** Et c’est à Cabourg, rebaptisée Balbec dans ses romans, qu’il écrivit une partie d’*A la recherche du temps perdu*.
Soutenir ce projet, c’est pérenniser tout en le renforçant le charme Belle Epoque de Cabourg par le biais de son illustre écrivain qui l’a immortalisée.

Cabourg : une station balnéaire intimement liée à la Belle Epoque

La Ville a créé **un comité scientifique et culturel** réunissant les experts des musées, du patrimoine et des milieux scientifiques, littéraires et économiques. Ainsi, une étroite collaboration s’est déjà tissée avec des institutions comme **le musée des Arts Décoratifs de Paris, les musées de Rouen, le musée d’Orsay, la BnF, etc.** Ceci permettra de **proposer au public une sélection d’œuvres et d’expositions évolutives régulièrement renouvelées.**
Sur un budget de **3,6 millions d'euros**, la Ville, la Région et le Département soutiennent le projet à hauteur de 2,8 millions d'euros. Pour le solde, des partenariats privés s’ajoutent aux dons collectés par la Fondation.
Vos dons soutiendront cette initiative territoriale culturelle de grande qualité.

Les acteurs locaux associés aux instances culturelles et muséales nationales

La Villa du Temps Retrouvé à Cabourg

MUSEE PROUST CABOURG

habitants mobilisés et regroupés au sein de l’association

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Votre contribution est nécessaire pour **restaurer la grange aux Dîmes du XIIIème fragilisée par l’usure du temps,** patrimoine rural unique de la commune de Rots, proche de Caen. 

**598 435 euros sont nécessaires pour sauvegarder l’ouvrage** avec des travaux indispensables de restauration de la charpente, de la couverture et de la maçonnerie en pierre des façades. Les travaux se dérouleront sur deux ans. 

Ce projet est initié par **l’Association de la Grange aux Dîmes de Rots** en partenariat avec la **commune** propriétaire de l’édifice et soutenu par la **Fondation du patrimoine.**

Sauver les toitures et façades de cet imposant édifice du XIIIe siècle 

Le cadastre napoléonien de Rots indique **l’ancien manoir Saint-Ouen**, situé tout près de l’église. Autour d’une cour quadrangulaire, il comprenait le manoir lui-même, la grange aux dîmes, divers bâtiments d’exploitation agricole et une mare.

**La grange aux dîmes qui doit remonter au XIIIème siècle, est le bâtiment prépondérant de cet ensemble,** grande nef rectangulaire orientée de sud-ouest en nord-est entre deux hauts pignons, campée au dehors de contreforts à ressauts. Au centre de son mur goutterot sud-ouest, est percée l’unique porte, cochère et précédée d’un porche. 

La grange aux dîmes de Rots est inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1927. 

Proche des sites historiques du débarquement et de la bataille de Normandie, elle mérite sa visite, actuellement impossible pour des raisons de sécurité.

La grange aux dîmes de Rots, dernier grand vestige de l’ancien manoir

L’Association de la Grange aux Dîmes de Rots porte ce projet avec beaucoup de ferveur et organise **de nombreuses animations qui mettent en valeur la construction** : exposition sur les fouilles archéologiques de Rots, expositions de peintures, photos et autres, journées caritatives ; commémorations, marchés du terroir, salons à thèmes, concerts, ateliers théâtre, soirées conférences, etc. 

L’association et la commune ont besoin de vos dons pour mener à terme ce projet de restauration et **redonner vie à ce bâtiment nous venant du Moyen-Âge.** 


Une volonté forte de valoriser le patrimoine rural

Une nouvelle vie pour la grange aux dîmes de Rots 

GRANGE AUX DÎMES DE ROTS

manifestations organisées pour l’église chaque année

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Implantée à proximité de Lisieux, au nord du bourg de Saint-Désir dans un environnement très préservé, cette église souffre de nombreux désordres liés à un défaut d’entretien ancien : problèmes d’humidité affectant notamment l’intérieur de l’édifice, toiture à réviser nécessitant des reprises de maçonnerie et de charpente, électricité qui n’est plus aux normes. Une fois ces travaux effectués, l’intérieur de l’église pourra à son tour être assaini en réparant les fissures intérieures et - grâce à la restauration du couvert - en mettant un terme aux importantes remontées d’eau par capillarité. 
Vos dons pour ces travaux permettront de sauver cet édifice, tout en lui offrant de nouvelles possibilités d’utilisation dans le respect de sa vocation originelle.

Restaurer l’église pour lui redonner une nouvelle vie 

La construction de cette église s’est échelonnée sur différentes périodes, la partie la plus ancienne remontant au XIIe siècle. Des remaniements ultérieurs ont eu lieu du XIVe au XVIe siècle, ce qui se traduit notamment à l’intérieur de l’église par des différences de niveau de charpente entre la nef et le chœur. A l’entrée de l’église se trouve un charmant porche en colombages datant du XVIIe siècle. La décoration intérieure compte notamment une poutre de gloire et ses statuettes, des statues religieuses, et une chaire d’époque Henri IV qui serait une des plus anciennes de la région.
Le montant total des travaux à effectuer est estimé à 260 000€ à réaliser en deux tranches à partir du deuxième semestre 2020 pour la première tranche.

Neuf siècles de présence dans le pays d’Auge

A l’initiative de la mairie et de l’association les Amis de l’Eglise de la Pommeraye, une mobilisation s’est opérée au sein de la commune pour trouver des financements, et réaliser ces travaux porteurs d’un projet plus ambitieux. Outre la réouverture régulière d’une activité cultuelle, l’objectif est de redonner vie à cet édifice par le biais d’activités culturelles annexes : concerts, expositions, conférences, visites organisées… Son environnement intact allié à la qualité de son architecture lui permettra enfin de constituer une halte sur les chemins de randonnée environnants.
La Fondation du patrimoine espère, par vos dons, appuyer ce projet mobilisateur très porteur pour la commune.

Une véritable implication locale autour de ce projet

Restauration de l'église de la Pommeraye

Signature de la convention de souscription

Démarrage des travaux de la première tranche

EGLISE DE LA POMMERAYE SAINT-DÉSIR

entreprises locales qui réalisent les travaux

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Votre soutien est indispensable pour sauvegarder cet impressionnant édifice religieux, vestige de l’architecture rurale proche de Bénouville, haut lieu de combats des forces alliées pour la réussite du débarquement le 6 juin 1944, qui eurent pour conséquences la destruction du château d’Amfreville et des dégâts sur l’édifice religieux dont les vitraux durent être remplacés. 
Le temps a fait son œuvre et des travaux sont aujourd’hui nécessaire. En effet, l’état actuel de l’édifice, qui présente des risques, ne permet plus son utilisation.
Le projet de réhabilitation concerne la restauration de la toiture, la rénovation des abat-sons, des peintures intérieures, la mise aux normes de l’installation électrique, le remplacement du moteur de volée de la cloche et la restauration partielle des menuiseries.


Sauvegarder l’église du XIXe siècle

Suite à l’effondrement de l’ancienne église du XIIe, l’édifice fut construit en 1843-1844, sous le règne de Louis Philippe. Située au centre du village, sur la place dite du « Plain » qui est, après la prairie de Caen, la plus belle étendue de pacage communal du Calvados (5 ha), l’église en forme de Croix est orientée nord-sud contrairement aux normes traditionnelles est-ouest. Le clocher atypique est de forme circulaire surmonté d’un dôme soutenu par des colonnes. 
Un aigle en bois doré (aussi symbole impérial, l’Impératrice Eugénie est venue à Amfreville choisir de la dentelle lors de l’inauguration du canal de Caen à la mer en août 1857) est installé dans le chœur. 
Le Maître autel est surmonté d’un retable représentant la sainte famille (copie d’un tableau de Murillo de 1680 au Louvre). 


Une orientation unique de l’édifice, non conforme à la tradition

Porté par l’association de sauvegarde « St Martin d’Amfreville » et la commune d’Amfreville qui unissent leurs efforts, encouragés par la Fondation du Patrimoine, pour trouver des fonds nécessaires à la restauration de l’église du XIXe siècle, le projet s’accompagne d’actions de valorisation. 
Grâce à vos dons, l’église souvent demandée pour des célébrations, étant donné sa grande capacité et son environnement (la place ou le Plain fait un beau décor qui a déjà été utilisé pour le film la dentellière d’Alençon) pourra retrouver toute sa vocation. 




Un territoire rural soudé autour du projet

Restauration de l'église Saint-Martin d'Amfreville

Restauration des abats-sons et mise aux normes électriques

EGLISE SAINT MARTIN AMFREVILLE

grandes phases sont prévues pour restaurer l’église

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L’ensemble de l’église Notre-Dame de Druval **à Beaufour-Druval dans le Calvados**, nécessite une importante campagne de travaux. Afin de lui redonner son écrin d’antan, il est aujourd’hui nécessaire de **restaurer les couvertures et les façades du porche, de la nef et du chœur et réparer des vitraux.** Au fil du temps, et à cause de travaux malhabiles à base de ciment, certaines parties en pierre ont été très dégradées. A l’intérieur également **une reprise de la voûte et des enduits s’impose.**  

Une fois remis en état, l’édifice pourra remettre en valeur les différentes statues et sculptures qui s’y trouvent, ainsi que l’ensemble du maître-autel, qui figurent à l’inventaire général du patrimoine culturel.

Redonner son lustre et préserver ce charmant édifice du XIIIe siècle

A proximité d’un petit ruisseau, **l’église Notre-Dame de Druval se dresse dans la vallée des Juliennes juste à côté de Beaufour-Druval.** Elle est une des plus attachantes de la région. **Dédiée à Notre-Dame,** mais relevant de l’abbaye du Bec Helloin, **sa fête patronale attire de nombreux fidèles.** 

On accède au chœur de l’église **datant du XIIIe siècle** par une porte romane qui permet d’admirer un vitrail constitué de **fragments de vitraux du Moyen Âge**. La nef, **qui date du XVIIe siècle**, conserve ses trous d’échafaudages, dits « trous de boulins ». Sur le tympan est peint un théâtral rideau pourpre qui s’ouvre sur un crucifix en trompe l’œil.  

L’église est **inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques** depuis 1975. 

Présentation du lieu et genèse du projet

La restauration de l’église permettra de **redonner une certaine attractivité au village très préservé de Beaufour-Druval.** Le montant des travaux à réaliser est d’environ **300 000 euros** avec une première tranche de 110 000 euros.     

Afin de trouver les fonds manquants, **une association s’est constituée à l’initiative de la mairie** et un appel aux dons a été lancé.  

Soutenir ce projet, c’est **assurer la pérennité d’un site d’une qualité rare** tout en redonnant un nouvel élan à une des plus belles communes du Pays d’Auge.

Une dynamique exemplaire autour de cette restauration

Restauration de l'église de Beaufour-Druval

EGLISE NOTRE DAME DE DRUVAL

chemins de randonnées passent par la commune

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Située à 17kms au sud-ouest de Caen, près d’Evrecy, l’église de Sainte-Honorine-du-Fay se situe avec son cimetière dans le centre-bourg. Le mérule constaté envahit les bois de l’ouvrage depuis l’automne 2019 ; pour des raisons de sécurité sa fermeture à toute cérémonie et visite a été nécessaire. 
Le projet est initié par la commune et soutenu par la Fondation du patrimoine.  Les travaux de réhabilitation sont estimés à 96 333 € HT. ; ils consisteront pour le gros-œuvre en la réfection de la toiture et des gouttières, le traitement du mérule, le rejointoiement des façades côté Sud. A l'intérieur de l'église, sont nécessaires la réfection du sol et des murs et le remplacement du mobilier attaqué par le champignon (bancs et chaises). 
Grâce à vos dons, l’édifice en péril pourra être sauvé et retrouver son activité.


Sauvegarder une église du XIIIe siècle 

Vestige de l’architecture rurale et religieuse du bocage calvadosien, les habitants sont très attachés à cet édifice, qui fait partie de leur quotidien. La nef est du XIIIe siècle. Les murs ont été reconstruits fin XVe - début XVIe siècle. Alors trop petite, l’église fut agrandie par deux chapelles latérales dans la 2nde moitié du XIXème siècle. Le plan en croix latine comporte cinq travées. L'ensemble est précédé d'un clocher-porche. Le portail est encadré par un arc en plein cintre supporté par des colonnes engagées.
Lieu de culte, l'édifice fait également partie du patrimoine historique et constitue un attrait touristique de notre territoire : l'église se trouve sur la trajectoire des chemins du Mont St Michel et sur les zones très fortement touchées par les combats de la bataille de Normandie en 1944 ; les bombardements détruisirent les vitraux qui ont été refaits dans les années 50 par le maître verrier Max Ingrand, restaurateur de ceux du château de Chenonceau.

Lieu de culte, **l'édifice fait également partie du patrimoine historique** et constitue un attrait touristique de notre territoire : l'église se trouve **sur la trajectoire des chemins du Mont St Michel et sur les zones très fortement touchées par les combats de la bataille de Normandie en 1944** ; les bombardements détruisirent les **vitraux qui ont été refaits dans les années 1950 par le maître verrier Max Ingrand**, restaurateur de ceux du château de Chenonceau.

Une église rurale bombardée en 1944

Actuellement condamnée par sa fermeture, votre soutien contribuera à restaurer l’église afin de permettre de recevoir les cérémonies liturgiques et développer un vaste projet de valorisation par l’ouverture aux nombreux visiteurs amoureux du patrimoine ; elle pourrait devenir un lieu d’accueil incontournables pour les marcheurs et pèlerins sur les chemins du Mont St Michel. 
Si tout projet de développement culturel se trouve pour le moment en suspens, des manifestations culturelles, musicales et artistiques pourraient y être organisées. 


Sauvegarde de l'église de Sainte Honorine du Fay

Fermeture de l’église en raison d'un risque de propagation de mérule

Retrait de toutes les boiseries intérieures et des dallages pour traitement du mérule et asséchement des sols

EGLISE DE SAINTE HONORINE DU FAY

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Votre soutien est indispensable pour préserver la Grandcopaise, vieux gréement qui a son port d’attache à Grandcamp-Maisy. Le navire qui avait déjà été sauvé de la destruction en 1989 a besoin d’une nouvelle restauration importante pour continuer à naviguer, les travaux sont estimés à 170 665 € TTC. Le projet est initié par l’Association des vieux gréements « Torbouai du Bessin » et soutenu par la Fondation du patrimoine. Les travaux de rénovation seront confiés à un chantier naval local spécialisé. Ainsi, grâce à vos dons, les voiles pourront continuer à claquer au vent et faire rêver de voyages sur les flots beaucoup d’admirateurs.  



Sauvegarder un navire lancé en 1949

Lancé en 1949 à Cherbourg, sous le nom des « Deux amis » le navire a vogué pendant 40 ans sur les côtes françaises et anglaises pour pratiquer la pêche. En 1973, il prend le nom de Franck Yannick dans son nouveau port d’attache Grandcamp-Maisy. En 1985, il passe de la pêche à la plaisance, mais les travaux nécessaires à sa transformation sont trop coûteux, le navire sombre alors en cale et se détériore progressivement, sa démolition est envisagée. La commune relève le défi, elle s’en porte alors acquéreur et fait réaliser sa rénovation : la « Grandcopaise » est née ! L’association des vieux gréements Torbouai du Bessin est alors créée en 1990 pour mener à bien ce projet. En 1993, le bateau reprend la mer et va représenter fièrement sa région en participant à de nombreux regroupements de vieux gréements. Mais le temps fait son œuvre, sa coque inscrite aux Monuments historiques depuis 1993 est affaiblie, il est temps de la restaurer à nouveau.

La tradition de la marine à voile à Grandcamp-Maisy

Avec l’association des vieux gréements Torbouai du Bessin qui a à sa charge l’intégralité des travaux, les habitants de Grandcamp-Maisy et ses nombreux passionnés de la navigation à la voile, veulent encore voir ce « monument vivant » flotter. Ainsi, grâce à vos dons, la Grandcopaise pourra encore proposer aux passionnés des sorties en mer en longeant nos côtes, mais aussi représenter et valoriser une région très marquée par la mer qui l’environne, lors de regroupements de vieux gréements et autres manifestations maritimes. 



La mobilisation : un territoire maritime soudé autour du projet

S.O.S La Grandcopaise, navire en détresse !

GRANDCOPAISE A GRANDCAMP-MAISY

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habitants mobilisés dans une association

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Soutenez ce grand projet qui comprend deux parties distinctes :  

1. **le parloir de l’abbesse, la pièce la plus emblématique de l’abbaye, totalement habillé de panneaux peints au XVIIème siècle
2. **les remparts qui entouraient la ville à l’époque de sa fondation, et la seule porte ayant survécu au temps : la porte d’Armentières. 

Ces travaux de restauration, peinture pour le parloir de l’abbesse, fouilles archéologiques, enlèvement du lierre qui étouffe les remparts et consolidation de la Porte d’Armentières, sont d’une grande importance par le travail nécessaire et par leur histoire. 

Grâce à vos dons, l’abbaye pourra revivre et être ouverte au public.

Sauvegarder les remparts de la ville et redonner son lustre au parloir de l’abbesse

Ouvrages militaires, les remparts et la Porte d’Armentières ont été érigés au XIIe siècle lors de la fondation de Verneuil par Henri Ier Beauclerc, duc de Normandie et roi d’Angleterre.

Majestueuse et emblématique du Verneuil médiéval, la porte d’Armentières, dernier vestige des sept portes d’entrée de la ville, aurait été franchie par Saint Louis en juillet 1257 (Cartulaire Normand n°592) de retour de pèlerinage au Mont Saint-Michel. 

Au XVIIIe siècle,l’autorisation est donnée aux habitants de démanteler les remparts médiévaux afin d’en récupérer les pierres pour permettre de construire leur maison. A une exception près : à la demande des Bénédictines, une portion de remparts longue de 360 mètres cernant l’abbaye Saint-Nicolas reste intacte, constituant aujourd’hui **un édifice patrimonial exceptionnel. Notre mission est d’éliminer le lierre étouffant le bâti afin de programmer, sous le contrôle des archéologues et architectes, experts des opérations, la sauvegarde de cet ensemble exceptionnel témoin de près de neuf siècles d’histoire.

Le lieu et son histoire : lieu riche d’Histoire et mémoire des habitants du Pays de Verneuil

En 2001, les Bénédictines quittent l’abbaye Saint-Nicolas. Elle est alors rachetée par la Communauté de communes avec la volonté de lui garder un caractère culturel. Des travaux de sauvegarde, de mises aux normes de sécurité sont entrepris petit à petit. Mais l’objectif est d’une toute autre nature : les bâtiments ont souffert d’être restés inoccupés durant plusieurs années.D’autre part des expositions sont organisées, des visites théâtralisées programmées pour faire vivre le lieu. 

Il s’avère que des travaux beaucoup plus importants sont à faire. Des bénévoles œuvrent sur les remparts, d’autres entretiennent l’intérieur des bâtiments, des entreprises interviennent également. En 2019 et 2020 le jardin médiéval du cloître est restitué. Les chantiers les plus importants restent à faire.  

Un mécène particulièrement engagé a déjà donné plus de 100 000 euros pour faire aboutir le projet : il s’agit de l’entreprise Verneuil Distribution, Intermarché à Verneuil sur Avre.

La mobilisation : un territoire mobilisé autour du projet

Restauration de l'abbaye Saint-Nicolas de Verneuil

ABBAYE SAINT NICOLAS - VERNEUIL SUR AVRE

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La commune de Moisville est située dans le sud de l’Eure. Son église Saint-Martin, qui se dresse au cœur du village, est d'un grand intérêt de par son ancienneté et la nature de ses transformations successives. 

Aujourd'hui, l’église est dans un piteux état et la commune, accompagnée par l’association des Amis de l’église Saint Martin se mobilisent pour la sauver. Les intérieurs souffrent d'une vétusté évidente, notamment liée à la présence d'humidité. Devant ce constat et s'appuyant sur les recommandations de la DRAC, la commune a souhaité faire réaliser un diagnostic général des intérieurs afin de définir et de programmer les travaux à entreprendre. Or, la restauration du clos et du couvert est un préalable aux travaux intérieurs. Le coût de la première tranche s’élève finalement à 429 000 € pour la restauration du chœur et de la sacristie.  

Grâce à vos dons, l’église de Moisville pourra de nouveau accueillir un large public, pour lui redonner vie. Mais la municipalité ne pourra faire face seule financièrement car il s’agit là d’un chantier de grande ampleur. C’est pour cette raison qu’elle fait appel à la générosité de plus grand nombre, à toutes les personnes attachées à cet édifice et à l’histoire de la commune pour l’aider dans cette entreprise ambitieuse. 

Restaurer l’église et lui donner une nouvelle jeunesse

La paroisse Saint-Martin de Moisville serait d'origine gallo-romaine, tout au moins de fondation antérieure au VIIème siècle. Elle relevait alors du fief de Bières dont l'un des seigneurs, Roger de Bières, mort en 1270, est représenté en gisant dans l'église. Si le chœur de cet édifice peut encore évoquer le bâtiment primitif (XIème ou XIIème siècle), l'ensemble actuel a été presque totalement reconstruit après la Guerre de Cent Ans, fin XVème ou début XVIème siècle. 

Une sacristie a été adjointe contre le chevet au XVIIIème siècle, époque à laquelle l'édifice a reçu un élégant décor de bois polychrome, constitué d'un maître-autel, d'une clôture de chœur, puis d'un habillage complet des murs par des lambris. Enfin, un porche en bois était initialement implanté en avant du portail occidental ; ce dernier a été démoli au cours du XXème siècle. 

La qualité du décor intérieur de cette église a conduit à son inscription à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du 08 novembre 1996. Elle abrite de nombreux objets mobiliers, également protégés. 

Un site millénaire

En 2017, est née l’association des Amis de l’église Saint Martin de Moisville. Sous son impulsion et avec l’engagement total de la commune, c’est tout un territoire qui se mobilise pour sauver son édifice le plus emblématique. 

Avec votre soutien et la mobilisation de tous, l’église Saint Martin de Moisville retrouvera son lustre d’antan ! 

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