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Pays de la Loire

Jean-Pierre Beaussier

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Menuiserie de l'Aubance

Delestre Industrie

SARL Ritouet

BONNEL MH

Archi Trav

ANCIENS ATELIERS BARTHE BORDEREAU

Bodet

Distillerie COMBIER

SARL COTTENCEAU Etienne

Le Crédit Agricole

Langlois Chateau

La Forge d'Art Loubière

Roc Confortation

SCP Christophe Duchêne, Jean-Philippe Rédig et  Maud Dallay

SELARL Giraud Migot et Dupont

Mécènes d'Aujourd'hui, pour le patrimoine de demain en Anjou

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Votre soutien est indispensable afin d’assurer la restauration de l'avion CESSNA UC-78 BOBCAT. L’objectif est de remettre en vol cet élégant bimoteur. 
Les travaux consistent notamment à restaurer la structure de l'aile et à vérifier les soudures. Actuellement, un travail de longue haleine est également mené sur le fuselage. Le train d'atterrissage, quant à lui, a besoin de pneus neufs.

Le chantier est conduit par Maurice Réthoré, référent patrimoine du Musée Régional de l’Air. Démarré en 2009, il est assuré par une poignée de bénévoles passionnés et nullement impressionnés par la charge de travail que représente la remise en état de vol de cet avion.

Cette restauration se déroule naturellement dans le respect absolu des réglementations aériennes, puisque l’appareil est destiné à revoler. Il sera le seul à voler en Europe (3 au monde). Le montant du chantier s’élève à plus de 80 000 €.

 Le projet : remettre en vol un avion datant du début du XXe siècle

Le Cessna Bobcat est un bimoteur américain conçu avant la Seconde Guerre mondiale comme une limousine des airs. Lorsque les États-Unis entrent en guerre, ils militarisent des avions civils pour remplir des missions telles que la formation des pilotes ou l'observation. L'UC-78 s'est alors transformé en avion d'entraînement pour les futurs équipages de bombardiers.
Le « Bamboo Bomber » ou Bombardier de Bamboo, tel qu’il est rapidement surnommé, équipera par la suite les forces aériennes des divers pays alliés dont la Royal Air Force, la Canadian Air Force, l'US Air Force et l'Armée de l'Air qui en recevra une centaine en 1943. Les survivants seront alors réformés en 1953 et celui-ci sera le seul à voler sous les couleurs civiles de la compagnie aérienne française, la TAI.

Un avion civil au rôle inattendu pendant la Seconde Guerre mondiale

L'exemplaire restauré à l'Espace Air Passion a été construit en 1943. Après de nombreuses mésaventures, il arrive en France en 1983 mais c’est en 1994 que l’association du Musée Régional de l’Air en fait l’acquisition. Il faut ensuite attendre 2009 pour que le chantier ne débute réellement. 
Cette démarche s'inscrit dans une conservation de la mémoire. Ce Bobcat est le seul connu en Europe. Il s’agit donc d’une véritable pièce de collection riche en histoire qui fera honneur aux milliers d'équipages disparus pour notre liberté durant le dernier conflit mondial.

Un chantier titanesque assuré par des passionnés de l’aviation

Avion CESSNA UC-78 BOBCAT

Premiers travaux effectués sur le Moulin

Somme allouée au projet par le club Mécènes d’Aujourd’hui 49 entre 2010 et 2019 

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Participez à la sauvegarde du Moulin Garreau à Louerre.   

Afin de sauvegarder ce témoignage d’un ancien mode de vie local, plusieurs tranches de travaux ont déjà été effectuées depuis 2015 et ont permis l’élaboration des plans du moulin, ainsi que la sécurisation du site. Ainsi, les premières étapes de la restauration ont été réalisées avec la remise en état des premiers niveaux de maçonneries, des soubassements, des murs et des cheminées. 

Désormais, le chantier en cours porte sur le massereau en pierre et le pivot en bois qu’il abrite ainsi que la hucherolle (cabane en bois qui porte les ailes et les mécanismes du moulin) et les installations techniques (électricité, système d’assainissement etc.). Il s’agit également de travailler sur l’aménagement intérieur et extérieur du moulin (espaces verts, zones de stationnement, parcours de déambulation, signalétiques d’informations).  

Restaurer un moulin à vent typique de l’Anjou 

Le Moulin Garreau est un moulin cavier, c’est-à-dire qu’il est doté d’une machinerie et d’une architecture typique des moulins à vent d’Anjou. C’est grâce à une analyse architecturale et stylistique qu’il est possible de dater ce site : il s’agit vraisemblablement d’une construction ancienne qui représente un chaînon important dans l’évolution du cavier angevin. Endommagé par un incendie en 1853, il ne fut probablement pas reconstruit par la suite.  

Abandonné depuis ce tragique événement, il s’est peu à peu détérioré jusqu’à ce que l’association Moulin Vivant, propriétaire du moulin depuis 2010, le récupère et commence sa restauration. 

Un des premiers moulins à vent construits dans la région 

L’association Moulin Vivant œuvre pour la valorisation du patrimoine moulin depuis une dizaine d’années.  

L’objectif du chantier est de redonner vie à ce patrimoine oublié en y organisation des visites guidées. Ainsi, les visiteurs pourront découvrir la transformation de l’énergie éolienne en énergie électrique. Des séminaires sur le développement durable seront également organisés auprès des scolaires avec la mise en place d’ateliers sur le thème du vent et des énergies renouvelables. De plus, des partenariats permettront de créer des parcours avec d’autres moulins. Ce sera notamment le cas avec le site du Moulin de Sarré à Gennes, où l’association a déjà réalisé plusieurs spectacles sons et lumières.  

 Une découverte des énergies renouvelables et du développement durable  

Moulin Garreau à Louerre 

MOULIN GARREAU A LOUERRE

entreprises interviennent sur le chantier

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Soutenez la restauration de la chapelle de la Blardière du Marillais à Mauges sur Loire. La petite chapelle, propriété du diocèse est fermée au public depuis 2014 à cause d’importantes dégradations qui rendait le lieu dangereux. Les riverains attachés à ce petit patrimoine local, ont souhaité la réouverture de la chapelle. C’est pourquoi, en 2015, un Comité de Sauvegarde de la chapelle a vu le jour.

Une étude a permis de chiffrer le coût de la restauration à hauteur de 102 000€ TTC pour la toiture et les trois clochetons, les différentes façades en tuffeaux, les enduits intérieurs et les vitraux. L’objectif de la collecte est fixé à 50 000€. Cet appel au mécénat populaire s’adresse à tous les habitants et entreprises de Mauges sur Loire et ses alentours.

Une 2019, une première tranche de travaux d’environ 30 000€ a déjà pu être réalisée grâce à la mobilisation de tous. En effet, la chapelle a été mise hors d’eau, une nouvelle couverture en ardoise vient protéger le bâtiment et le fronton avec ses trois clochetons ont été entièrement restaurés. Une première victoire pour le Comité de Sauvegarde qui a réussi a collecté près de 18 000€ de dons. A cela, vient s’ajouter une subvention du club Mécènes d’Aujourd’hui de 5000€ et de la Fondation du patrimoine de 3500€. 


Sauver la chapelle de la Blardière au Marillais, lieu de culte rural qui souffre d’importantes dégradations obligeant la Municipalité à en interdire l’accès en 2014. 

A l’origine, M. Vincent avait fait vœu de bâtir une chapelle si son fils revenait sain et sauf de la campagne d’Italie, sous le premier Empire. Au retour du soldat son père tint parole et fit ériger l’ex-voto promis. 
Au mois d’octobre 1870, l’abbé Pierre Vincent, son petit-fils, alors curé de la Tourlandry vint procéder à la bénédiction d’une chapelle plus importante qu’il avait fait construire en son village natal en remplacement de l’ex-voto de son aïeul. 
En 1898, à la mort de l’abbé Vincent, la chapelle fut vendue à des particuliers, puis rachetée par l’association Diocésaine, actuelle propriétaire. 
A l’intérieur, l’autel est dominé par une représentation des apparitions de la Vierge aux petits bergers de la Salette en Isère. 
Depuis, beaucoup de personnes sont venus se recueillir et confier leurs peines et leurs joies à la Vierge Marie. Les plus anciens se souviennent des neuvaines faites en ces lieux pour la protection des soldats partis à la guerre ou des prisonniers. Encore récemment, une célébration avait lieu au moment des rogations, et les gens du village venaient réciter le chapelet en mai et octobre. 
En 1993, Henri Boré, Maire du Marillais, fit apposer sur le mur de clôture, une plaque rappelant la mort de deux paysans du hameau fusillés en 1793 et les nombreux habitants de la commune massacrés pendant les Guerres de Vendée. 


Le lieu et son histoire 

Créée en 2015 à l’initiative de quelques riverains de la commune, le Comité de sauvegarde de la chapelle a eu pour Présidente, Marie-Laurence Bourget, ancienne Maire du Marillais de 1987 à 2001, aujourd’hui décédée. Christian Boré, son nouveau Président, va continuer les actions entreprises durant ces 2 dernières années par l’association. En effet, de nombreuses manifestations ont été organisées pour collecter des fonds affectés au projets tels que des concours de belote et des spectacles (chansons et humoristes).

Une association mobilisée : LE COMITE DE SAUVEGARDE DE LA CHAPELLE DE LA BLARDIERE 

La chapelle de la Blardière au Marillais

Réalisation de la première tranche de travaux

Mécènes d'Aujourd'hui, pour le patrimoine de demain en Anjou

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